Psychanalyste

Sylvie Jumel

PLONGEZ AU CŒUR DE L’HUMAIN
Psychanalyste formée et diplômée de Paris 8, j’exerce à Paris depuis 2017 en cabinet libéral dans le 12ème arrondissement.

Venez me rencontrer

SORTIR DU CONFINEMENT PAR LA PAROLE

Votre santé est ma priorité.

Accompagnement de crise : suite à cette période sans précédent, qui pour beaucoup, est source d’incertitude, de difficultés et d’épreuve, j’ouvre exceptionnellement ma consultation par téléphone.

Prenons rendez-vous dès maintenant : 06 18 96 69 95.

La psychanalyse aujourd’hui

 

Redonner une place au sujet que je suis et prendre enfin mes responsabilités et du coup le risque et la satisfaction de vivre pleinement.

De quoi parler chez l’analyste ?

Des secrets du désir. Des secrets de notre désir qui disent la difficulté de l’amour, celle de la sexualité, la douleur de la vie, la proximité de la mort si éloignée… On parle de nos souhaits, de nos mensonges qui disent une part de vérité nous concernant, de ce que l’on croit être notre vérité, de nos fantasmes, de nos rêves, de nos peurs, de notre dégoût, de nos haines, de nos désirs… Bref, c’est à dire tout ce qui vous passe par la tête ! Ce sont les mots qui déclenchent le changement, la transformation. Ça permet petit à petit de redonner une place au sujet que nous sommes.

Par le travail de l’analyse avec un analyste, on suspend le jugement négatif que que l’on peut porter sur nous-même. Puis, par cette prise de conscience de la passion insue faite de haine-amour qui habite notre fantasme imaginaire, on arrive à un détachement, qui nous permet en tant que sujet, d’avoir une idée de ce qui compte pour nous. De ce qui vaut pour nous. De ce que nous valons à nos propres yeux. Tout cela nous ouvre à un autre aspect de nous-même.

Ma consultation est ouverte à toutes celles et ceux qui souffrent « suffisamment » dans la vie et que la psychanalyse intéressent. En tant que clinicienne, je pratique les séances à durée variable.

Jeunes adultes

Pouvoir « dire tout ce qui vous passe par la tête » enfin ! C’est possible, c’est souhaitable et ça fait un bien fou.

Venez me voir et parlons-zen !

Adultes

L’expérience analytique, c’est un travail. Un travail de l’inconscient qui permet au savoir intime insu de chacune et de chacun de se dire. On peut ainsi avoir accès à notre noyau de vérité interne.

Venez découvrir votre singularité !

Les 3 étapes

Ma formation analytique

Mon parcours analytique repose sur 3 fondements

Step :

Une analyse

J’ai commencé une analyse avec Monique Schneider (freudienne) en 2008, puis je l’ai poursuivie à partir de 2012 avec Jean-Gérard Bursztein (lacanien).

Step :

Une praxis et une supervision

Je pratique en Cabinet libéral depuis 2017 et je suis supervisée par J-G Bursztein.

Step :

Une fréquentation des textes et des enseignements de psychanalyse

J’assiste et participe régulièrement à des séminaires d’orientations différentes et variées, au gré des thèmes traités et suivant mon désir : colloques à l’Ecole de la Cause freudienne avec J-A Miller, des journées d’études à l’École de Psychanalyse des Forums du Champ lacanien avec Colette Soler, les séminaires de P. Vallas, les séminaires de Nasio à la Société Psychanalytique de Paris (SPP), les rendez-vous de l’Association Psychanalyse et Médecine (APM), des interventions à Espace Analytique, les séminaires de topologie avec J-G. Bursztein, le séminaire d’E. Roudinesco à l’École Normale Supérieure (ENS), des formations régulières et ponctuelles à Paris 7 ainsi que la formation annuelle de présentations de cas cliniques organisée à l’hôpital Henri Ey.
Je participe cette année 2019-2020 au cycle « Clinique psychanalytique » de l’Université Paris 8, cycle de conférences portant sur « Actualité de la psychanalyse » et sur « Conversation clinique » à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre.

ÉCOUTE, ÉTHIQUE, TRAVAIL, ENGAGEMENT, DÉSIR

Mes patientes & patients : C'est vous !

Questions fréquentes

Vous vous posez souvent les questions suivantes

Pourquoi faire une analyse ?

« Nous sommes les passagers d’un navire
qui voyage avec un cadavre dans la cale. »
Ibsen
Quand on souffre « suffisamment ». On a des symptômes – ou des « états d’âme »- qui nous empêchent d’avoir une vie suffisamment épanouie, on est dans la passivité, l’angoisse, l’inhibition. Quand on n’avance pas ou plus.
Quand on échoue : pourquoi veut-on échouer ?
Quand on se rend malade : pourquoi se rend-on malade ?
Pourquoi le plaisir est-il se dur à supporter ?
Pourquoi plaisir et punition sont-ils étroitement liés ?
Comment nos corps sont-ils parlants ?
Qu’y a-t-il sous l’histoire officielle ?
Et quelle joie de découvrir toutes ses trouvailles !

Le travail de la cure

Un travail (au sens freudien) pour l’analysant/te :
« La psychanalyse ne relève pas d’une décision volontaire, ni d’un idéal moral, mais d’un travail. Un travail qui demande beaucoup de peine et de temps et qui fait passer par une série de moments décisifs, où le sujet perçoit que sa vanité est liée à un fantasme imaginaire dont il lui faut se détacher pour parvenir à désirer et vivre. » Jean-Gérard Bursztein.

Le travail du psychanalyste consiste en une écoute qui révèle à cet autre que nous sommes aussi, sa souffrance et ses sources, son souhait de la surmonter jusqu’à désirer enfin selon son propre désir.
Comment ? Par exemple :
En faisant entendre au sujet sa responsabilité dans les choix inconscients qui le guident.
En faisant saisir à ce semblable la dimension mortifère qui l’habite à son insu et lui fait faire des mauvais choix.

Qu’est-ce qui déclenche l’entrée en analyse ?

Ce qui déclenche une entrée en analyse est une chose humaine : la reconnaissance d’une douleur inexplicable et aussi, une certaine forme de curiosité pour notre vie intérieure. Une analyse, ce n’est pas une mince affaire ! C’est difficile, parfois douloureux, c’est progressif. Comment cela pourrait-il en être autrement ? Quand on a vécu des années, des décennies de telle ou telle manière et qu’on essaie, dans l’analyse, de tout défaire par la parole, pour le refaire autrement ? Ça prend du temps.

Et quand cela réussit : Quelle liberté !

De quoi parler chez l’analyste ?

Surtout de tout ce qui nous passe par la tête !
Des secrets du désir. Des secrets de notre désir qui disent la difficulté de l’amour, celle de la sexualité, la douleur de la vie, la proximité de la mort si éloignée… On parle de nos souhaits, de nos mensonges qui disent une part de vérité nous concernant, de ce que l’on croit être notre vérité, de nos fantasmes, de nos rêves, de nos peurs, de notre dégoût, de nos haines, de nos désirs, de notre désir… Ce sont les mots qui déclenchent le changement, la transformation. L’être humain ayant découvert son désir singulier peut alors exister, aimer, travailler et trouver ce qui lui convient pour tirer profit de sa vie.

C’est quoi faire une analyse ?

C’est prendre son temps. Essayer de trouver les manières les plus adéquates de composer avec ses sentiments, avec ses peurs, son incomplétude, ses insuffisances, avec la mort si lointaine et si proche, avec la haine de soi et celle des autres, etc. La cure est un travail de deuil : on y fait le deuil des deuils.

Quelle liberté apporte le travail de la cure ?

La psychanalyse est LIBÉRATRICE
La liberté que l’on acquiert ! On est conscient de ses désirs, on est moins susceptible de subir l’emprise des autres. On retrouve notre capacité de choix. Et de bons choix pour nous. On vit pleinement nos conflits sans auto-dépréciation. La vie, à ce prix ? Oui. L’analyse suscite l’intérêt pour les choses et crée la vie. Et parfois, oui aussi, la psychanalyse sauve des vies. L’être humain ayant découvert son désir singulier peut alors travailler, aimer, exister, c’est à dire trouver ce qui lui convient pour tirer pleinement profit de sa vie. Oui !.

Passer au désir : une transformation nécessaire

Résoudre son conflit psychique inconscient.
Le sujet que nous sommes, peut alors résoudre le conflit inconscient (amour-haine) qui le déchire et ainsi trouver sa délivrance, quitter son masochisme et se mettre en mouvement. Quitter le masochisme, et se mettre en mouvement. Et fasse enfin ce qu’il désire vraiment !
Rappel : dans le masochisme, le sujet annulé dans sa dépression reste prisonnier du pessimisme, d’un certain désenchantement. Et ne profite pas pleinement de la vie.

Ça permet quoi de faire une psychanalyse ?

Ça apporte, une solution PERSONNELLE
La cure par la parole tout en respectant la singularité de chacune et chacun, nous permet d’abandonner nos symptômes les plus embarrassants qui jusqu’à maintenant ont été notre solution. Ça nous permet de vivre avec davantage d’incertitude – de consentir à la surprise et à l’accueillir – et davantage d’humilité, de redonner grâce au présent, grâce à un passé neuf qui nous convient, pour l’avenir, de prendre la responsabilité de notre vie, de disposer d’une nouvelle énergie, de goûter la profondeur du quotidien. Le travail de la cure nous restitue notre capacité de choix, nous permet de nous soustraire partiellement et d’échapper à certaines de nos déterminations, tout en aimant, en travaillant et en jouissant de la vie ! C’est à dire, de surtout, surtout, enfin, prendre le risque du désir. De notre désir.

Alors, pourquoi éviter l’expérience de l’analyse ?

PSYCHANALYSTE

Sylvie Jumel

Le travail de l’analyste c’est de redonner au présent,
le passé neuf qui lui convient
Michel Larivière

Je suis psychanalyste formée et diplômée de Paris 8. En tant que psychanalyste, je suis une page blanche pour mes analysant/tes. Le psychanalyste, supposé savoir y faire avec les catastrophes ordinaires de la vie comme les pertes, les séparations, l’abandon, la maladie, la dépression, l’amour, la ou les passion(s), la sexualité, le plaisir, le désir… parce qu’un jour son engagement dans le désir l’y pousse, il peut alors aider les autres à leur tour, en offrant son écoute, ses actes, ses interprétations, des coupures.

Le goût des autres
Après avoir été coach en entreprise et coach individuel, à partir de 2009 – diplômée de l’Université Paris 8, entre 2009 et 2012 – j’ai parallèlement fait une analyse. Puis rapidement, j’ai décidé de me former à la psychanalyse et de m’y consacrer entièrement, ce que je fais maintenant depuis quelques années.

Écouter quelqu’un,
c’est de l’amour tout court
Hanif Kureishi

J’exerce à Paris depuis 2017 en cabinet libéral dans le 12ème arrondissement, où je reçois des adultes et des jeunes adultes.
Mon approche est d’orientation lacanienne.
Je pratique des séances à durée variable dont le mot d’ordre est : Vous écouter, pour que vous puissiez vous entendre.

Mes activités en lien avec la psychanalyse :
Je prépare, en tant que chercheuse, une thèse de doctorat à Paris sur « Penser l’hystérie dans la clinique contemporaine ».
Je travaille à un livre d’interview avec J-G Bursztein sur « Quelques propositions sur l’avenir de la psychanalyse » à paraître chez Hermann.

Langues parlées : français (maternel), anglais (je peux faire des consultations pour les personnes qui parlent anglais).

Comment prendre rendez-vous ?

Vous pouvez me contacter par téléphone au numéro suivant : 06 18 96 69 95
ou me contactez par mail.

Actualités

Mon blog

Je partage avec vous ici des articles issus de mon travail, des mes réflexions ou des témoignages qui me paraissent intéressants.
Bonne lecture !